« Si la fin tire en longueur et si les personnages ne sont pas toujours aboutis, le clown lunaire composé par Jérémie Elkaïm, entre Pierre Richard et le Peter Sellers de "La Party", apporte beaucoup de charme à ce premier film nourri à la poésie de Tati et Chaplin. »
Théo Ribeton
« La plupart des ingrédients sont réunis, et le film ne fait pas naufrage : il a de l'humour, un peu d'esprit, mais manque d'agilité et, surtout, de poésie. »