« On peut être insensible, voire réfractaire à cette ligne mélodique. Mais Andreï Kontchalovski en a fait une composante essentielle de son film, et si l’on veut s’enivrer de la lumière étrange du crépuscule sans fin des nuits blanches, rêver éveillé en compagnie de Lyokha, il faut le faire sous le ciel de l’empire. »