« Vincent Lacoste, principal atout du film, est, lui, irrésistible de sournoiserie et d'arrogance, avec une dextérité burlesque nouvelle, un timing parfait de l'expression et du geste. Le scénario conduit ce personnage aussi mignon que détestable au bout de son ignominie. De sorte que "Lolo" se termine d'une façon moins consensuelle, plus féroce que prévu. »