« Ce premier long métrage étonnant est bien un polar, mais où les faits se défont, où la raison déraisonne. (...) Sa caméra thermique, ses viseurs infrarouges lui permettent de transformer, par moments, les paysages rocailleux en lieux lunaires et les soldats qui s'y meuvent en fantômes, en ectoplasmes qu'on croirait sortis du néant. »