« Il y a, dans le cinéma "à l’arrache" de Cheyenne Carron, quelque chose d’un John Cassavetes au féminin, voire d’une Maïwenn encore confidentielle. Sans égaler l’élan romanesque de La Fille publique ou l’électrisante intensité de "L’Apôtre", son nouveau film offre des pics d’inspiration humaine et visuelle. »