« (...) Ali n’ose plus aimer l’Iran. Il était là, à la fin des années 1970, et l’avènement de Khomeyni a broyé ses espoirs. L’Iran, pour lui, est une vieille maîtresse quittée aux premiers signes de l’âge et du drame (...) »
Pierre Fornerod
« Un vibrant mélodrame. »
Jacques Morice
« Le film est un huis clos fiévreux. Où la flamme de l'amour rejoint celle de la contestation, où l'intime résonne avec le collectif. (...) Malgré une fin un peu maladroite, le film reste un geste fin et fort de résistance. »
Isabelle Danel
« Pétri de bonnes intentions, le film tourne en rond, la mise en scène ne parvenant qu’à asséner un postulat qui n’évolue pas plus que les personnages, réduits à de simples symboles. »