A la veille de recevoir en France Amin, l'ancien responsable FLN auprès de qui elle lutta 40 ans auparavant, Aya se souvient des missions périlleuses, de l'émancipation qu'elle en retira, et aussi de l'optimisme vite enterré d'Amin. Aujourd'hui, à l'heure des bilans et des regrets, c'est encore elle qui prouvera à tous sa force de caractère.
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