La Suburra, quartier malfamé de Rome, est le théâtre d’un ambitieux projet immobilier. L’Etat, le Vatican et la Mafia sont impliqués. En sept jours, la mécanique va s’enrayer : la Suburra va sombrer, et renaître
À Rome, à la sortie d’une boite de nuit, un adolescent trouve la mort dans un accident
de voiture.
Tout laisse à penser qu’il s’agit d’une simple collision, mais Corso, ancien flic devenu
détective privé, est persuadé du contraire.
Michelle, la mère du jeune homme et ancienne maîtresse de Corso, est à présent avec
un homme de pouvoir, l’influent avocat Argento.
Au cours de l’investigation s’ajoute la découverte du cadavre d’un ingénieur, apparemment proche de l’avocat.
Corruption, écoutes téléphoniques, espionnage, règlements de compte : l’enquête va s’avérer difficile pour Corso, qui tente de faire éclater la vérité sur la mort du fils de Michelle.
Tout juste installé à Rome avec sa famille, Giancarlo pousse Caterina, sa fille de 13 ans, à nouer des relations avec les familles influentes de sa classe. Par peur de décevoir son père, l'adolescente se rapproche de deux filles de notables. Commence alors pour elle un voyage turbulent dans les sphères de la haute société.
Claudia, psychanaliste, découvre dans son patient Tancredi un ancien terroriste, membre de la ''Zone d'Ombre''. Ayant elle-même perdu sa soeur dans un attentat, Claudia persuade Tancredi de collaborer avec la justice. Menacée, elle quitte tout et vivra cachée pendant 5 ans. Mais quand le procès commence, Tancredi refuse d'apparaître...
Printemps 1983. Arrêté 5 ans auparavant pour appartenance à un groupe de terroristes, Braccio est transféré en fourgon blindé. Le voyage n'est qu'un traquenard, puisque le commandant des carabiniers est un officier de l'antiterrorisme chargé de convaincre Braccio de coopérer, s'il veut revoir sa fiancée et obtenir une réduction de peine.
Ses études dans une école de police terminées, Andrea a pour première mission la garde d'un détenu, Sante, hospitalisé pour une tentative de suicide. Après plusieurs heures passées ensemble les deux hommes se lient d'amitié et Andrea accepte d'accompagner Sante chez sa maîtresse. Mais celui-ci en profite pour s'évader...
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Eté 1832. Jeune carbonari, Angelo fuit les agents autrichiens, galopant inlassablement au travers d'une Provence décimée par le choléra. Invulnérable et pur, il affronte tous les dangers, aide les victimes et prend le temps d'aimer en silence Pauline de Thérus, jeune femme intrépide à la recherche d'un mari mystérieux, peut-être déjà mort...
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Elle est belle, elle est catholique, elle est la sœur du roi, elle s’appelle Marguerite de Valois. Son frère l’a surnommée Margot. Il est protestant, on dit qu’il est mal élevé, mal rasé, qu’il sent l’ail et la sueur. Il s’appelle Henri de Navarre. On les marie de force. C’est une manœuvre politique : il faut réconcilier les Français déchirés par les guerres de religion. Ils sont trois frères, le roi Charles IX, Anjou son cadet et Alençon le plus jeune. Ils aiment Margot, ils l’aiment trop, d’une passion équivoque et possessive. Pourtant ils sont tous là, ils rient, ils dansent, ils font semblant de s’amuser. Le chef de cette famille, c’est Catherine de Médicis. Elle a appris à ses enfants la duplicité et l’amour du pouvoir. Mais dans la canicule de ce mois d’août terrible la haine et la peur vont bientôt tout étouffer. Car Madame Catherine règne à la place de son fils Charles mais c’est Anjou qu’elle aime. C’est à lui qu’elle veut offrir un royaume en paix. A quel prix ? A n’importe quel prix. Catherine veut réconcilier les Français mais elle veut aussi décapiter les factions, supprimer leur chef, neutraliser les protestants. Tous les protestants ? Seulement les chefs ? On ne le saura jamais car tout va lui échapper. Six jours après le mariage célébré à Notre-Dame, ce sera la nuit de la Saint-Barthélemy. Cinq mille ? Dix mille ? Tous massacrés dans les rues de Paris, égorgés dans leur lit et jusque dans le Louvre même. Au milieu de cette nuit d’horreur un jeune homme percé de coups d’épée frappe désespérément à la porte de Margot. La Môle est protestant, il doit mourir comme les autres. Mais Margot le cache, le soigne et se met à l’aimer. Cette nuit-là tout bascule. « Tu peux être fier, tu es le roi d’un pays catholique maintenant » lance Anjou à son frère le roi, le lendemain matin. « Oui, tu peux être fier ! Tu es le roi d’un pays où plus rien de bouge hormis les pendus au gibet. Paris est un cimetière ! » C’est Margot qui seule ose s’insurger contre la tuerie, Margot contre ses frères, sa mère, seule contre tous. Un sang d’assassin coule dans ses veines, mais pour la première fois, l’amour fait place à la compassion. « Il s’est passé quelque chose cette nuit Margot ? Quelque chose de plus ? » Margot ne répond pas. « Je le saurai » dit Charles. Il saura que Margot aime enfin, simplement et pour la première fois. Pour la première fois elle ne veut plus appartenir à sa famille ni leur ressembler. Fille de roi, femme de roi, sœur de roi, elle restera du côté des opprimés où se trouvent à présent son mari, son amant, ceux qu’elle aime. Plus jamais, elle ne retournera dans le camp des bourreaux.
A la suite du décès dans un attentat de deux hauts fonctionnaires, Angelo Mandolesl demande sa mutation et est chargé, en tant qu'agent d'escorte, de la protection rapprochée du juge Michele de Francesco. Si des tensions règnent au début au sein de l'escorte, la vie en commun rapproche vite ces hommes que la mort guette à tout moment...
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Le dernier rejeton affamé des Sigognac abandonne le château de ses ancêtres pour suivre des comédiens ambulants. Il se sent attiré par l'amour de Séraphine et Isabelle, mais en réalité c'est le théâtre qui l'a happé. Aussi, quand il part à la recherche d'Isabelle que l'on a enlevée, ne voit-il là qu'un enrichissement de l'intrigue...
A Venise, au XVIe siecle, alors que le peuple celebre la fin de la ''Peste Noire'', deux femmes, Valeria, mariee et imaginative et Angela, belle veuve rivalisent de charme et de seduction afin de conquerir un jeune homme et de passer une nuit d'amour avec lui...
En Italie, les magistrats sont protégés contre les attentats criminels par de jeunes policiers qui ne touchent aucune indemnité de risque pour leur travail : ils sont ''l'escorte''...