''Il ou elle parle à la caméra. Frontalement, cadré en buste, c'est la distance de la conversation, ni trop près ni trop loin, la bonne distance pour recevoir sa parole.
Le cadrage rappelle le portrait en peinture. L'espace derrière eux est indéterminé, abstrait. Chaque parole est une confidence qui met au jour cruauté, jouissance, honte, désarroi, culpabilité, blessure enfouie, frustration, étrangeté. Ces fictions sont nées de situations vécues restées figées dans la mémoire parce qu'elles ont été la source d'un malaise ou d'un trouble. En faire rejouer le récit, et l'anecdote devient vertigineuse, on se met à circuler dans les méandres humains.''
Patrick a tout pour être heureux, sauf qu'il s'est juré de ne jamais laisser tomber son meilleur ami hypocondriaque Sami, car il lui doit la vie. Aussi quand Sami se déclare condamné par une maladie rare, Patrick accepte d'accompagner son ''malade'' en Inde, à la recherche d'un médecin.
Un groupe de jeunes gens intègre l'une des Grandes Ecoles où se forme l'élite de demain. Grandes écoles, oui, grands amours aussi, difficiles parfois. Le trouble des sentiments, de l'esprit et de la chair désinhiberont leurs certitudes, et ils ne tarderont pas à réaliser que l'école qui est grande n'est peut-être pas celle annoncée.
Au mariage de sa sœur Sophie, Philippe fait la connaissance de Senta, une des demoiselles d'honneur et cousine du marié. Dès lors, la passion enflamme ce jeune homme raisonnable, ce qui ne serait pas bien grave si Senta était une jeune femme comme les autres.
Madame Petlet, une femme pleine de bon sens, quitte son mari et trouve à Paris un emploi de nounou chez une scénariste de télévision survoltée, Nathalie. En panne d'idées, celle-ci découvre en Mme Petlet une source d'inspiration intarissable. A partir de mille détails de sa vie, elle écrit un feuilleton qui connait un succès fulgurant.
