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La dévote, Cecilia, se voit offrir la possibilité d'entrer dans un couvent italien. L'accueil chaleureux est bientôt interrompu lorsqu'elle comprend que cette maison de Dieu recèle de sombres et horribles secrets.
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Delia se réveille chaque matin avec une gifle de son mari Ivano. Elle se lève, prépare le petit-déjeuner de leurs trois fils, vide l'urinoir de son beau-père alité, puis quitte la maison pour affronter, sans relâche, son quotidien, fait de divers travaux sous-payés (réparer le linge, régler les parapluies, suspendre les draps), utile pour rassembler un peu d’argent qui n’est jamais suffisant. Toute la journée, elle continue de recevoir des gifles de toutes parts. Car Delia n'est pas seulement pauvre, elle est aussi une femme.
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Attilio, Giorgetto et le Professeur, trois sexagénaires romains dont les vies sont désastreuses décident de tout quitter pour aller vivre à l'étranger. Mais où ? Voilà la question...
L’histoire d’un garçon naïf, pas vraiment bon élève, qui tente de conquérir le cœur d’une petite fille. Avec son pied en forme de banane, le jeune féru de ballon rond nous indique la route du bonheur la plus sinueuse, la plus sincère et la plus essentielle.
Dans les grands salons d’une ancienne villa marquée par le temps, Anna, touchée par un deuil soudain, passe ses journées dans la solitude. La campagne sicilienne, sauvage et d’une grande beauté, entoure la maison et l’isole tandis que le brouillard se lève lentement sur les flancs de l’Etna. Seuls les pas de Pietro, l’homme à tout faire, rompent le silence. A l’improviste arrive Jeanne, la petite amie de Giuseppe, le fils d’Anna, qu’il a invitée à venir passer quelques jours en Sicile. Anna ignorait l’existence de Jeanne et Giuseppe est absent. Il va revenir bientôt, très bientôt..... c’est ce que dit Anna à Jeanne. Les jours passent, les deux femmes apprennent lentement à se connaître et attendent ensemble le jour de Pâques, où Giuseppe rentrera pour la procession.
A la mort de sa mère, une adolescente, dont le rêve est de devenir nageuse synchronisée, renonce à ses projets pour s'occuper de sa famille.
Claudio, ouvrier dans le bâtiment, travaille sur un chantier dans la banlieue de Rome. Il est très amoureux de sa femme, enceinte de leur troisième enfant. Un drame inattendu va soudain bouleverser l'insouciance de cette vie simple et heureuse. Pour survivre, Claudio va affronter avec rage l'injustice intime et sociale qui le touche. Le soutien de sa famille, de ses amis et l'amour de ses enfants vont l'aider à réussir le pari de la vie.
Sélection officielle, en compétition - Cannes 2010.
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À Rome, à l’aube, quand tout le monde dort, il y a un homme qui ne dort pas. Cet homme s’appelle Giulio Andreotti. Il ne dort pas car il doit travailler, écrire des livres, mener une vie mondaine et en dernière analyse, prier.
Calme, sournois, impénétrable, Andreotti est le pouvoir en Italie depuis 4 décennies. Au début des années 90, sans arrogance et sans humilité, immobile et susurrant, ambigu et rassurant, il avance inexorablement vers son 7ème mandat en tant que président du Conseil.
Geremia, 70 ans, est un usurier laid, sale, riche et radin, cynique et ironique. Il a un rapport morbide avec l'argent, obsessionnel. Tout le rend malade : sa mère, son père, l'argent, les femmes, en somme la vie... C'est pour cette raison qu'il a l'impression d'être seul. Pourtant, il ne l'est pas. Tout le monde est comme lui...
On suit un bus qui donne à voir des personnages, des quartiers, des histoires de la ville Eternelle. Du travail à la famille, des dialectes aux modes vestimentaires, de la cuisine aux loisirs, des Romains de souche aux émigrés, on feuillette un album empreint d'affection et de causticité.