Une vision du Mexique par l'intermediaire d'une jeune femme liftiere qui donne sa conception de l'existence.
Jeanne Bontemps, une ancienne chanteuse est decouverte assassinee dans un verger abandonne ou un jeune poete, Jean Doit, venait souvent rever. Un petit journaliste et l'inspecteur Delaitre menent leurs investigations. Aux nombreuses questions qu'ils se posent, bien peu de reponses semblent les satisfaire.
Karl, un tueur, a pour mission d'assassiner Kate, une aventuriere. Il parvient a faire sa connaissance mais au lieu de la tuer, il en tombe eperduement amoureux et devient son amant. Mais au bout de quelques jours, Kate le rejette. Desespere, Karl la tue avant de se suicider.
Jeanne se souvient de son amour pour Jean, qui s'est enfui.
Francois Naulet, un trafiquant de drogue, vit à l'écart du monde. Un soir, Guy, un ami, l'emmène dans une soirée ou François retrouve sa mère et sa femme. Toujours amoureux d'elle, il décide de tout abandonner et de prendre un nouveau départ avec elle. Mais en se droguant une dernière fois, il fait une overdose et meurt.
L'amour entre Jean, artiste-peintre, et Stella, infirmiere, va en se degradant. Stella voit un rival en l'amour de l'art qui habite Jean. Celui-ci fait une nouvelle rencontre en la personne de Jeannot, un jeune prostitue par qui il se sent attire.
Pierre Brumeu a 21 ans et vit avec son pere a Paris, dans le souvenir de sa mere, morte quand il etait enfant. Mal dans sa peau, il decide de partir quelques jours en Tunisie, son pays natal, afin de se ressourcer et de trouver une raison de vivre...
Une jeune Parisienne est amoureuse d'un marin rencontré pendant les vacances. Séparés, ils s'écrivent, chacun vivant sa vie, lui à Brest, elle à Paris.
Guy Gilles s'est promené à travers Paris et dans la campagne avec sa caméra et a pris sur le vif les gestes familiers des passants, des artisans, des ouvriers, des mendiants, et des paysans. Ballet de gestes familiers que l'auteur a su agrémenter d'une optique particulière et originale.
« Le vrai musée de Mexico, c'est la ville, c'est la rue. » Pour en saisir l'impalpable, Guy Gilles prend le parti de raconter le Mexique en s'interrogeant sur la valeur des images et des sons, loin des clichés touristiques.
