En 1964, André Robillard s’est mis à fabriquer des fusils avec des matériaux de récupération, ramassés au hasard de ses promenades dans l’hôpital psychiatrique où il vivait près d'Orléans. Aujourd’hui, à 87 ans, André demeure toujours dans cet hôpital, où il est entré à l’âge de neuf ans il y a 78 ans. Entre temps, il est devenu un artiste internationalement...
Ce film part d’une rencontre, tout à fait fortuite, entre un homme qui a joué dans un film, il y a trente ans, et un autre, cinéaste, qui aime énormément ce film. Il s’agit du film Mes petites amoureuses, de Jean Eustache, et leur rencontre se passe à Narbonne, la ville où ce film fut tourné. Le plus jeune des deux hommes, le cinéaste, se lance alors dans la réalisation d’une sorte de documentaire sur le tournage de Mes petites amoureuses. Hilaire, celui qui avait joué dans ce film, revient pour lui sur les traces de ce tournage, et tente de reconstituer la bande qu’il formait avec ses copains et que Jean Eustache avait décidé de filmer.
Henri-François Humbert reconstitue, à travers une collection de cartes postales, l’histoire de l’exode vers la France des Républicains espagnols fuyant le franquisme.
Par un jeu de hasard, le réalisateur Henri-François Imbert, s'est trouvé en possession d'un film Super 8 resté inachevé dans la caméra. Le film montre une famille inconnue s'amusant au bord d'une plage. Il décide de se rendre en Irlande du Nord pour retrouver ces gens et leur rendre ce film.
C'est le mois de juin, la saison des pluies commence au Mali. Henri-François Imbert arrive à Bamako. Il cherche Doulaye Danioko, celui qui a tant marqué son enfance par sa présence, et les années qui ont suivies son départ par son absence. Entre fiction et documentaire, au fil des rencontres, un journal filmé, en Afrique aujourd'hui.
Un réalisateur met tout en oeuvre pour tenter de retrouver les protagonistes d'un film oublié dans une caméra super-huit, achetée d'occasion à Belfast.