Des portes explosent. Les policiers casqués, armés font irruption de nuit dans des appartements, cris, coups : défilent à l’écran les visages des interpellés. Des beurs, des blacks, des blancs. Tous ont moins de vingt ans. Ceux que la presse appellera les « barbares ». On est en février 2006. La police quelques heures plus tôt a trouvé le corps moribond d’Ilan (Halimi) sur le bord d’une route à Sainte-Geneviève-des-Bois, nu, brûlé à 80 %. Kidnappé, il a été séquestré pendant 24 jours. Il était juif. Et donc supposé avoir de l’argent. Par flash-back, le film déroule alors le fil des événements depuis le kidnapping. Courses poursuites entrecoupées de scènes où on assiste au calvaire de la victime. Moderne danse macabre qui en dit long sur la « marche » de nos sociétés.
Il est 5 heures du matin, à une terrasse de café, Léon s’assoit à la table d'Eva et lui demande un chocolat chaud. Il a 11 ans et ne connaît pas ses parents. Elle a 35 ans et pas d’enfant. Elle est libre, fantasque et mène une vie de privilégiée. Il est malin, sage et vit dans un foyer. Ils ne vont plus se quitter.
Eliane étouffe entre son travail d'institutrice, son mari protecteur, sa mère envahissante et sa fille. Elle est au bord de la crise ! Encouragée par ses meilleures amies et de nouvelles rencontres, elle décide de poursuivre ce qui compte pour elle : réconcilier sa vie actuelle et celle dont elle rêve...
Cet été, Vincent Rousseau va diriger sa première colonie de vacances. Entre les animateurs complétement déjantés, les gamins intenables et les visites surprises de ''Jeunesse et Sport'', ces trois semaines vont être plus mouvementées que prévues ! Les colonies de vacances... c'est pas forcément des vacances pour tout le monde !
Créées dans l'urgence de la Liberation, les maisons d'enfants ont accueilli dès 1944 des gamins sans familles, cachés dans la France profonde puis, dès juin 1945, les enfants déportés, survivants des camps de concentration. Des milliers d'entre eux s'y sont reconstruits, comme Elie Wiesel, hébergé dans l'établissement que gère Nina...
La vie n'ayant rien prévu pour eux, ils ne lui demandent rien. C'est pourquoi Chrystèle Burrel et Christophe Gérard, malgré leur éducation inexistante et leur absence de valeurs morales, passent de place en place où ils sont employés comme domestiques avec une insouciance et une joie de vivre qui laissent rêveur.
Pour eux, la vie est douce. Pourtant, il n'est pas bien malin et pas toujours fiable, son Totophe. Et lui, faut-il qu'il l'aime sa Chrystèle pour accepter qu'elle le trompe. Oui. Même chez les bêtes de cet acabit, l'amour existe. Et quand l'amour est là, la confiance règne.
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De mystérieux moines dotés d'une force surnaturelle éliminent spectaculairement des victimes ayant le même prénom et la même profession que les apôtres. Aidés de Marie, spécialiste en histoire religieuse, le commissaire Niemans et le jeune capitaine Reda tentent de percer le terrible secret que protègent ces anges de l'Apocalypse.
Louise sait ce qu'elle veut dans la vie, et la vie la gâte. Elle est libre, fougueuse, heureuse. Tout va bien pour elle. Jusqu'au jour où, à la veille de présenter son petit-ami à ses parents, elle perd soudain... son plaisir sexuel ! Alors elle panique et se lance désespérément dans une folle quête pour le retrouver.
Réalisateur : Isabelle Broué
Avec : Marie Gillain, Julien Boisselier, Garance Clavel, Brigitte Rouan, Tsilla Chelton, Lionel Abelanski, Idit Cebula, Patrick Catalifo, Agathe Teyssier, Francois Marthouret
Deux femmes. L'une est mariée, bourgeoise, active. L'autre est entraîneuse dans un bar de nuit. Catherine paie Marlène pour coucher avec son mari Bernard, qui la trompe. Elle veut qu'elle lui dise tout, tous les détails... Catherine a fait de Marlène Nathalie, celle qui ment. C'est leur secret, leur histoire.
Raphaële, un femme ordinaire, a choisi d'assumer sa part d'ombre et de ne plus commettre avec indifférence les erreurs et autres tromperies qui forment avec lacheté le quotidien de chacun, et dont on s'arrange si facilement. Projeté avec ''Un certain goût d'herbe fraîche'', de la même réalisatrice, où le regard détaché d'un taulard sur la liberté.