Micheline Cheirel

La Belle Équipe (1936)

Photo dernier film Micheline Cheirel
Photo dernier film Micheline Cheirel
Micheline Cheirel

Filmographie

Score76%
Affiche du film = La Belle Équipe

La Belle Équipe

1936| 1h40min | Comédie dramatique

De

Sortie le 01 septembre 1936

Séances
Jean, Charles, Raymond, Marion et Jacques, cinq copains au chômage, qui traînent ensemble leur misère, gagnent 100 000 Francs à la loterie nationale, avec un billet acheté en commun. Ils décident de s'associer pour construire, eux-mêmes, une guinguette sur les bords de la Marne, à partir d'un bâtiment en ruines...

Un fetard ruine dont l'ambition est de devenir chomeur, doit donc commencer par travailler. A la voirie, aux autobus, dans le metro, partout il commet des frasques. Sa situation se retablit grace a un inventeur cocasse et tapeur dont la decouverte, contre toute attente est remarquable.

trois vieilles filles, les Dames aux chapeaux verts, recueille leur cousine, une jeune deluree. La jeune fille decouvre dans le journal de la plus jeune des trois soeur, qu'elle n'avait pu se marier avec l'homme qu'elle aimait, a cause de sa mere. Aussi, elle meme amou reuse, elle a bien l'intention que cette histoire se termine par 2 mariages !

Ayant par caprice abandonne son metteur en scene avant d'avoir termine le film dont elle est la vedette, Dora Nelson est remplacee par une jeune fille qui lui ressemble etrangement mais qui, charmante, intelligente et douce, prend aussi sa place dans le coeur du mari.

A la fin de leur service militaire, les musiciens d'un regiment d'infanterie ont forme un orchestre et decident d'exploiter un hotel abandonne sur la Cote d'Azur. Ils connaissent mille deboires mais avec la complicite d'une jeune fille, reussissent a rendre prospere l'Hotel du Golfe.

Après la guerre, Gérard, un ex-officier de l'armée canadienne, libéré d'un camp de prisonniers, va se lancer à la poursuite d'un criminel de guerre nazi. Ce dernier, un certain Jarnac, serait en effet responsable de la mort de la fiancée de Gérard. Ecrit par John Paxton, d'après une histoire de John Wexley.