Refusant d'être au chômage, une ouvrière textile part vivre au Maroc où son usine a été délocalisée et y découvre les difficiles conditions de travail.
74%
Sortie le 26 octobre 2016
Dans les premières années du règne d’Hassan II, Houcine, fan de son nouveau roi, est le chef d’un orchestre populaire. Lui et sa femme, Halima, habitent dans la maison de famille de celle-ci, une maison animée, aux personnages hauts en couleurs qui vivent au rythme de l’orchestre et de ses danseuses traditionnelles, les Chikhates. Les musiciens-hommes de cet orchestre bien particulier sont parfois obligés de se faire passer pour des aveugles afin de pouvoir jouer dans les fêtes uniquement réservées aux femmes, organisées par des familles marocaines conservatrices. Houcine est également l’heureux père de Mimou. Il prend son rôle très à coeur et souhaite le meilleur pour son fils. Dès l’école primaire, il lui impose d’être le premier de sa classe. Mais Mimou va rapidement tomber amoureux de Chama, la nouvelle bonne de leur voisine, et pour ne pas décevoir son père, il va tricher en falsifiant son bulletin de notes.
Un vieillard et un jeune homme, une histoire d'amitié. Un homme et une femme, une histoire d'amour. Un lieutenant français, sa femme et des nationalistes, une confrontation pour la liberté. Dans un village sud marocain frappé par la sécheresse, autant d'histoires pour symboliser la soif d'amour, de liberté, d'amitié, d'eau et de vie.
En 1997, au Maroc, 4 femmes, amies de jeunesse, se retrouvent après des années de séparation. Chacune à sa manière, avec son tempérament, elles vont se battre pour retrouver leur statut et leur place dans la société, se battre au travail, au foyer, à l'usine, dans toutes leurs relations avec les hommes, aussi bien humaines que sexuelles.
Marié à trois femmes, Mohamed Ben Moussa semble gérer harmonieusement l'entente familiale, si ce n'était les facéties et la légèreté de sa dernière épouse Houda, qu'il vient de répudier une troisième fois... pour le regretter aussi vite. Trop tard hélas, car lorsqu'on renie une épouse trois fois, on ne peut la reprendre, à moins que...