Benoit est nouveau dans un collège parisien.Il est malmené par une bande de garçons hautains qui rendent son intégration difficile. Pour ne pas se laisser faire, Benoit organise une grande soirée et invite toute la classe. Mais le soir de la fête, seuls trois élèves viennent...
1941 : à Marseille, le jeune Levilé attend la venue de sa mère et de ses sœurs de Pologne, et tente d'organiser leur embarquement pour l'Argentine. Pris dans les affres de la culpabilité, il mêle les fantômes de sa mauvaise conscience à la vie réelle. Rosa, une chanteuse éprise de lui, s'efforce de sauver Levilé des menaces de la police de Vichy et des illusions mortelles qui l'habitent...
Quand les enfants ne donnent plus de nouvelles, il est bon d’avoir un ami. Pour se rendre à la piscine. Déjeuner à la brasserie. Traverser avec une certaine quiétude les écrasantes journées d’été. Mais quand l’ami lui-même fini par faire défaut, l’existence devient périlleuse. D’autant plus périlleuse qu’on vieillit, qu’on est fragile et seul, et qu’on habite à Paris… sous les toits. Mais le coeur bat toujours. En attendant le jour où la force viendra à manquer, ou l'on choisira de ne plus ouvrir sa porte, on peut encore croire aux rencontres, et à l'amour.
Le comte Charles Valerand d'Arbac de Neuville, son épouse Solange ainsi que leurs ascendants et descendants doivent au trésor public la modique somme de 1 991 753 euros. Seul petit souci : ils n'ont plus un sou. Ils vont donc tenter l'impossible (à l'exception notable du travail) pour préserver leur château en ruine.
L'histoire commence avec la mort de la grand-mère, Rosa. Elle détestait la religion et les rabbins, et pourtant elle avait réservé un emplacement dans le carré juif du cimetière. Les Rashevski sont complètement perdus. Ils ne savent pas comment l'enterrer. Elle leur manque déjà, et ce n'est que le début de leurs nouvelles vies, sans Rosa. En effet, les Rashevski commencent à se poser des questions sur leur identité et partent dans des aventures très personnelles, comme si leurs existences n'étaient pas déjà assez compliquées. Heureusement, il y a le tango...