Retrouvez toutes les séances du CINEPAL' le Cinéma à Palaiseau (Palaiseau).
Les films en salles cette semaine :
Jouer avec le feu, God Save the Tuche, Paddington au Pérou, Un ours dans le Jura, Captain America: Brave New World…
Pierre élève seul ses deux fils. Louis, le cadet, réussit ses études et avance facilement dans la vie. Fus, l’aîné, part à la dérive. Fasciné par la violence et les rapports de force, il se rapproche de groupes d’extrême-droite, à l’opposé des valeurs de son père. Pierre assiste impuissant à l’emprise de ces fréquentations sur son fils. Peu à peu, l’amour cède place à l’incompréhension…
Les Tuche mènent à nouveau une vie paisible à Bouzolles. Mais lorsque Jiji, le petit fils de Jeff et Cathy, est sélectionné pour un stage de football à Arsenal, c’est l’occasion rêvée pour toute la famille d’aller découvrir l’Angleterre et d’y rencontrer la famille royale. Celle-ci ne s’imagine pas encore que le nom Tuche restera à jamais gravé dans l’histoire de la perfide Albion.
Le troisième volet des aventures de l'ourson Paddington qui retourne au Pérou, son pays d'origine, pour rendre visite à sa tante Lucy, à la Maison des ours retraités.
Michel et Cathy, un couple usé par le temps et les difficultés financières, ne se parle plus vraiment. Jusqu’au jour où Michel, pour éviter un ours sur la route, heurte une voiture et tue les deux occupants. 2 morts et 2 millions en billets usagés dans le coffre, forcément, ça donne envie de se reparler. Et surtout de se taire.
Après avoir rencontré le président américain nouvellement élu Thaddeus Ross, Sam se retrouve au milieu d’un incident international. Il doit découvrir la raison derrière un complot mondial infâme avant que le véritable cerveau de l’opération ne fasse voir rouge au monde entier.
En 1982, Samuel, un professeur juif porté par ses croyances pacifiques et ses idéaux de rassemblement de personnes de religions différentes, entreprend un voyage à Beyrouth pour monter une pièce adaptée de l’Antigone de Jean Anouilh.
L'histoire, sur près de trente ans, d'un architecte juif né en Hongrie, László Toth. Revenu d'un camp de concentration, il émigre avec sa femme, Erzsébet, après la fin de la Seconde Guerre mondiale aux Etats-Unis pour connaître son " rêve américain ".