Usé par vingt-cinq ans de vie commune, le couple formé par Xavier et Sophie semble à bout de souffle. Et le moins que l’on puisse dire c’est que l’idée de Sophie d’inviter à dîner Adèle et Alban, leurs voisins du dessus, n’enchante pas Xavier ! Il leur reproche un manque de discrétion lors de leurs ébats nocturnes, aussi fréquents que déchainés. Au contact de leurs voisins aux mœurs des plus libérées, Xavier et Sophie vont alors se confronter à leur réalité, avant d’être poussés dans leur retranchement par une proposition quelque-peu... indécente.
Rosalie est une jeune femme dans la France de 1870 mais ce n’est pas une jeune femme comme les autres, elle cache un secret : depuis sa naissance, son visage et son corps sont recouverts de poils. Elle est ce qu’on appelle une femme à barbe mais n’a jamais voulu devenir un vulgaire phénomène de foire. De peur d’être rejetée, elle a toujours été obligée de se raser. Jusqu’au jour où Abel, un tenancier de café acculé par les dettes, l’épouse pour sa dot sans savoir son secret. Mais Rosalie veut être regardée comme une femme, malgré sa différence, qu’elle ne veut plus cacher. Abel sera-t-il capable de l’aimer quand il découvrira la vérité ?
Elles sont vieilles, ils sont vieux. Ils, elles, vivent seuls ou en couple. Ces gens-là seraient la France dʼhier, alors quʼils sont en vie ici et maintenant. Dans ce présent court et frénétique, quʼils habitent aussi mais que lʼon croit exclusivement nôtre, ils sont relégués au statut de témoins silencieux. Écoutons les, non pas comme des sages dont la parole est dʼor, mais plutôt comme des vivants imparfaits, touchants, irrités, drôles parfois, et toujours surprenants.
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