« Si l'écriture est habile, la mise en scène n'est pas toujours au même niveau, notamment dans les séquences de luttes collectives qui donnent le parfum d'une époque mais pas sa substance. (...) "La Belle Saison" vibre au mieux par ses variations affectives, son côté mélo au sens fort, d’autant que les affects sont intriqués avec les choix de vie. »