« Nicolas Saada utilisait un genre — l'espionnage — pour évoquer avec force la trahison amoureuse. A nouveau, son presque huis clos, mis en scène au millimètre en amateur éclairé de Hitchcock, possède une double résonance : le film d'angoisse, façon Panic Room, est très réussi — c'est rare dans le cinéma français. »