« Plus antagonistes que Dujardin et Zylberstein, ça n’existe pas et c’est pour cette raison même que leur voyage l’un vers l’autre atteint de tels sommets d’émotion, soulignés, voire surlignés, par la musique de Francis Lai, au top de son lyrisme, le tout baigné dans une ambiance karmique qui achève de rendre l’expérience inoubliable. »