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No popcorn on the floor
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La Sangre brota
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Happy Sweden
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The Pleasure of being robbed
Le film Une saison sans pop-corn nous plonge pendant un an dans les coulisses d'un cinéma de quartier à Bayonne : l'Atalante. Un petit cinéma de quartier comme vous ne l'avez jamais vu, l'envers d'un décor que beaucoup d'entre nous rêvent secrètement de découvrir.
Arturo, un paisible chauffeur de taxi, doit réunir deux mille dollars dans les vingt-quatre heures. Ramiro, son fils ainé, qui les a quittés quatre ans plus tôt, vient d'appeler de Houston pour leur demander de l'aide d'urgence. Le même jour, Leandro, leur fils cadet s'apprête à voler les économies de ses parents pour acheter un stock d'ecstasy qu'il se destine à vendre sur la côte afin de s'acheter un billet d'avion pour rejoindre son frère... Lorsque chacun se confronte à l'autre pour obtenir cet argent, Arturo se transforme à nouveau en cet homme qui a poussé Ramiro à s'enfuir quatre ans plus tôt.
C’est bientôt l’été en Suède, où les petits dérapages semblent se multiplier. Leffe par exemple, aime jouer l’imbécile pour ses amis et faire des blagues salaces, surtout quand il a bu.
A l'école, une maîtresse est trop zélée : elle trouve que ses collègues ont besoin d’un peu d’instruction. Et puis il y a ces deux adolescentes qui aiment faire des photos sexy et faire la fête ; mais un soir, l’une d’elles se retrouve embarquée ivre morte dans la voiture d'un inconnu...
Éléonore, curieuse et perdue, cherche partout quelque chose, jusque dans les sacs d'étrangers qui continuent de sourire tristement bien après qu'elle soit sortie de leur vie. Ils lui doivent des remerciements. C'est une peinture de la solitude dans ce qu'elle a de pire et de meilleur, réelle et irréelle, sous et sur la couverture.
