John Curran

Tracks (2016)

Photo dernier film John Curran
Arrière-plan dernier film John Curran
John Curran

BIOGRAPHIE

Aprèsavoir achevé ses études d'art à l'Université de Syracuse, John Curran a travaillé comme illustrateur et designer à New York. En 1986, il déménage à Sydney pour travailler chez Ogilvy et Mather.

En 1990, il crée sa propre sociétéde production, la POP FILM, à Sydney et commence à diriger publicités, vidéoclips musicaux et courts-métrages.

En 1997, son court-métrage Down Rusty Down est selectionné dans de nombreux festivals : Le Sundance Film Festival, The New York Film Festival et le London Film Festival.

En 1998, son premier long métrage, Praise, est élu meilleur film par la Critique Internationale lors du Toronto Film Festival.

Le film a aussi participé au Sundance Film Festival, au Festival de Berlin (où il ouvre la section Panorama), au London Film Festival et au Edimburgh Film Festival.

En Australie, Praise a obtenu 10 nominations à l'Australian Film Institute, en remportant le prix de la meilleure actrice et du meilleur scénario.

En 2000, l'Australian Film Instiutute lui remet le prix du meilleur réalisateur indépendant. Praise est également nommé au British Independant Film Awards comme meilleur film étranger et a été cité parmi les 10 meilleurs films de l'année par le New York Times.

Son film, We don't live here anymore, sort dans nos salles le 7 décembre 2005. Le film s'inspire de deux nouvelles d'André Dubus, Adultery et We don't live here anymore, parues dans la deuxième moitié des années 70. Elles racontent l'histoire provocante et méditative de deux couples confrontés à l'infidélité. Naomi Watts était déjà à l'affiche de ce film sur l'adultère et nous la retrouvons à l'affiche de son film, Le voile des illusions, qui sort le 7 mars 2007 dans nos salles. Le film tiré du roman de William Somerset Maughn paru en 1925, au titre éponyme, nous plonge au coeur d'une boulversante histoire d'amour aux côtés d'une jeune femme à qui le danger et les fautes donneront la force d'aimer vraiment.

John Curran