Après 25 années passées en France, le cinéaste d'origine yougoslave Radovan Tadic se rend à Sarajevo en octobre 92. Il y retourne pour plusieurs mois en janvier 93, filmant seul dans l'hiver la vie quotidienne de Sarajevo, décrivant par l'horreur et la tristesse de certaines personnes le destin collectif d'une population.