Retrouvez toutes les séances de cinéma du Chambord (Marseille).
Les films en salles cette semaine :
Dune : Deuxième Partie, Une vie, Boléro, Madame de Sévigné, Bob Marley: One Love…
Paul Atréides se rallie à Chani et aux Fremen tout en préparant sa revanche contre ceux qui ont détruit sa famille. Alors qu'il doit faire un choix entre l'amour de sa vie et le destin de la galaxie, il devra néanmoins tout faire pour empêcher un terrible futur que lui seul peut prédire.
D'après l'histoire vraie du britannique Nicholas Winton (1909-2015). Avant le début de la Seconde Guerre mondiale, âgé de 29 ans, il sauve 669 enfants tchécoslovaques dont beaucoup sont juifs d'une mort certaine dans les camps d'extermination nazis.
La vie du compositeur français, Maurice Ravel, et particulièrement de la création du Boléro en 1928, œuvre qui lui apporta la consécration internationale.
Milieu du XVIIe siècle, la marquise de Sévigné voudrait faire de sa fille, une femme brillante et indépendante, à son image. Mais plus elle tente d’avoir prise sur le destin de la jeune femme et plus elle l’aliène. Mère et fille expérimentent alors les affres d’une passion singulière et dévastatrice. De ce ravage va naître une œuvre majeure de la littérature française.
Biopic sur la vie et la carrière de Bob Marley, qui est considéré comme l'un des artistes les plus prolifiques de l'histoire et qui est largement célébré pour avoir fait connaître le genre reggae au cours de ses presque 20 ans de carrière, avant de décéder en 1981 à l'âge de 36 ans, d'un cancer.
Delia se réveille chaque matin avec une gifle de son mari Ivano. Elle se lève, prépare le petit-déjeuner de leurs trois fils, vide l'urinoir de son beau-père alité, puis quitte la maison pour affronter, sans relâche, son quotidien, fait de divers travaux sous-payés (réparer le linge, régler les parapluies, suspendre les draps), utile pour rassembler un peu d’argent qui n’est jamais suffisant. Toute la journée, elle continue de recevoir des gifles de toutes parts. Car Delia n'est pas seulement pauvre, elle est aussi une femme.
La Fille mal gardée raconte le triomphe par la ruse d’un amour empêché. Ballet-pantomime créé par Jean Dauberval en juillet 1789 au Grand-Théâtre de Bordeaux, il inspire au cours de l’Histoire de nombreux chorégraphes par son univers proche de l’enfance et sa vision amusée de la paysannerie. En 1960, le chorégraphe anglais Frederick Ashton en propose une version virtuose et pleine d’humour qui fait danser les coqs, les vieilles dames et les parapluies. Une galerie de personnages irrésistibles évolue au son de chansons populaires et d’airs d’opéras‑bouffes. Typique du « ballet d’action » théorisé en 1760 par Jean‑Georges Noverre, genre chorégraphique qui valorise l’expressivité, La Fille mal gardée éblouit et amuse par sa fraîcheur. Dans une cour de ferme ou un champ de blés, les cœurs de Lise et Colas se cherchent et finissent par se trouver. À la manière d’une comédie musicale, le scénario original, revisité par Ashton, nous emporte dans sa fantaisie et ses sourires.
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