Eyal Sivan

Pour l'amour du peuple (2005)

Photo dernier film Eyal Sivan
Photo dernier film Eyal Sivan
Eyal Sivan

Filmographie

Pour l'amour du peuple

2005| 1h28min | Documentaire

De ,

Sortie le 04 janvier 2005

Monsieur B., officier de la Stasi, a travaillé pendant 20 ans comme fonctionnaire au service de la surveillance et du contrôle du peuple. Il a agit au nom d'un amour absolu pour son peuple, faisant sienne la devise ''La confiance c'est bien, le contrôle c'est mieux''. La chute du régime a mis fin à cette belle dévotion.

Un road-movie le long de la ligne virtuelle qui suit les frontières de la résolution 181, par laquelle l'ONU prévoyait en 1947 la partition du territoire de la Palestine en deux Etats distincts. Le regard commun d'un Palestinien et d'un Israélien sur la vie quotidienne des habitants.

Route 181

2004| 4h30min | Documentaire

De ,

Sortie le 06 janvier 2004

''Route 181, fragments d'un voyage en Palestine-Israël'' propose un regard inédit sur les habitants de ces deux pays... Le regard commun de 2 cinéastes, l'israélien Eyal Sivan et le palestinien Michel Khleifi, qui se sont dédiés pendant plus d'un an à la réalisation de ce qu'ils considèrent comme un acte de foi cinématographique.

Réalisateurs : Eyal Sivan & Michel Khleifi

Aqabat Jaber est l'un des 60 camps de réfugiés palestiniens construits par l'ONU au début des années 50 au Moyen Orient. Tourné quelques mois avant l'Intifada, ce film raconte l'histoire d'une génération déshéritée, élevée dans la nostalgie d'endroits qu'elle n'a jamais connus et qui n'existent plus.

Au coeur du conflit israelo-palestinien la question du retour des réfugiés déterminera l'avenir du Moyent Orient. Ce film qui se veut analogique raconte l'histoire des réfugiés palestiniens comme celle de tous les réfugiés, populations déportées, personnes déplacées, qui sont au centre des grands conflits du 20è siècle.

Burundi, le 21 octobre 1933 : le Président N'Dadaye, démocratiquement élu, est assassiné par un groupe d'officiers tutsis. Les pogroms se succèdent, des dizaines de milliers de personnes deviennent des réfugiés dans leur propre pays.

Le 6 avril 1994, la rage purificatriceS'abattait sur le rwanda. en cent jours Militaires et miliciens massacraient au Moins 700.000 tutsis. les images de ce Film ont été prises deux ans après le Génocide, en avril 1996.

Chronique d'un chantier à 10 km de Jérusalem, en pleine guerre du Golfe, où se retrouvent des ouvriers israéliens, palestiniens, allemands, géorgiens. Leur seul point commun: la construction d'un parc de loisirs, un lieu de travail où la haine est omniprésente.

Le savant-philosophe YeshayahuLeibovitz se livre à une réflexion Critique sur ce qui fait l'homme. sa Volonté, sa liberté, ce qu'il choisit, Ce qui s'impose à lui et comment, en Triomphant de soi, il dépasse la Pesanteur de ce monde

''Izkor'' signifie ''souviens-toi'' en hébreu, et c'est sur cet impératif dicté aux enfants d'Israël que s'interroge le film. Les enfants des écoles, du plus petit au plus grand, se préparent à rendre hommage au passé de leur pays.

Enjeu politique pour ses habitants,Mythe pour ses visiteurs, jérusalem Reste l'objet d'une convoitise univer- Selle, proche du fétichisme. le Syndrome jérusalem a été répertorié Officiellement comme syndrome psychia- Trique du 19è siècle. il atteint Pélerins et touristes en visite dans la Ville.

L’histoire de la Palestine et d’Israël s’articule autour de représentations, d’images et de clichés. Mais parmi tous ces symboles véhiculés et admis, un seul est commun aux deux : l’orange. Raconter l’histoire des oranges de Jaffa, c’est raconter l’histoire de cette terre à travers un récit riche et, étonnamment, très émouvant. Le film d’Eyal Sivan n’est pas qu’une façon de se souvenir. Il est davantage une entreprise de surgissement du passé à travers la mélancolie du présent.