Sam Neill

Le Rêve de Daisy (2023)

Photo dernier film Sam Neill
Photo dernier film Sam Neill
Sam Neill

BIOGRAPHIE

Né à Omagh, en Irlande du Nord, Sam Neill retourne dès l'âge de 7 ans en Nouvelle Zélande, le pays d'origine de sa famille. Il fait ses études sur la petite île du pacifique et y obtient un diplôme de littérature anglaise. Après avoir quitté l'Université il fréquente assidument différentes compagnies théâtrales locales avant d'intégrer le New Zealand National Film Unit pour y réaliser des courts-métrages et apprendre les métiers du cinéma.

En 1975, i lfait ses rpemières apparitions à l'écran dans Landfall, puis quatre ans plus tard, il crève l'écran dans Ma brillante carrière, film australien dans lequel il est repéré par James Mason qui fait pression sur les studios pour incarner Damien, dans le troisième volet de la série La Malédiction (La Malédiction finale en 1981). Son profil ambigu, animé par un regard démoniaque lui attirent les faveurs de nombreux cinéastes à travers le monde et lui permettent d'intégrer des productions au-delà des frontières anglophones.

On le retrouve donc à l'affiche de Possesion d'andrej Zulawski (1981), Le sang des autres de Claude Chabrol (1984), Un cri dans la nuit de Fred Schepisi (1988) ou du thriller Calme blanc de Phlilip Noyce (1989). Ce dernier marque le début d'une belle carrière de studio pour Neill, avec des productions comme A la Poursuit d'Octobre Rouge et Jurassic Park

Globe-trotter animé par une passion sans relâche, Sam Neill ne cessera pour autant jamais de traverser les frontières entre les genres et les pays, pour accéder à des projets plus exigeants et étoffer sa palette. Ainsi, on le retrouve chez Wenders (Jusqu'au bout du monde en 1991), en écrivain paranoïaque chez Carpenter (L'antre de la folie, 1994) ou dans sa Nouvelle Zélande natale avec La leçon de Piano de Jane Campion.

La fin des années 90 le voit enchaîner des productions plus standards et perdre un peu de sa superbe (Jurassic Park III, L'homem bicentenaire, The Dish). Il revient sur les écrans en 2007, dans lé mélodrame sirkien de François Ozon, Angel.

En 2010, on le retrouve à l'affiche du film d'épouvante/Science fiction Daybreakers des frères Spierig aux côtés d'Ethan Hawke et Willem Dafoe.
Sam Neill