« Il y a davantage de réalisme dans un épisode de "Plus belle la vie" que dans tout le film. (...) C’est le cœur sur la main que Kad Merad égrène les clichés méridionaux, sur fond de retrouvailles entre deux frères, d’humour tempéré (un seul gag en une heure trente) et d’une émotion aussi débordante que vaine. »