Evocation très libre de la vie de Sade quelques jours avant la Révolution, alors qu'il était encore incarcéré à la Bastille. Il a pris ici la forme d'un chien qui a pour seul compagnon de cellule Colin, sa propre partie intime avec qui il entretiendra des relations de personne à personne. Pour les auteurs il s'agit d'une «ode à la liberté individuelle, à la liberté d'expression et à la liberté sexuelle».
Deux jeunes soeurs encore vierges, l’une plutôt puritaine et l’autre en fauteuil roulant, ne sont pas ce qu’on peut appeler des femmes épanouies. Un oncle récemment décédé leur lègue un important héritage. Seulement, pour toucher le magot, elles devront perdre leur virginité sous quinze jours
