Félix est souffleur dans un théâtre. Il a pour ami d'enfance Philippe, acteur, a qui il offre ses mots, sa fantaisie et son humour. Mais quand arrive Clara dans leurs vies, chacun tente de la séduire. Qui, de la belle gueule de Philippe ou du verbe de Félix, saura souffler l'amour qui fait tant rêver Clara ?
La vie n'ayant rien prévu pour eux, ils ne lui demandent rien. C'est pourquoi Chrystèle Burrel et Christophe Gérard, malgré leur éducation inexistante et leur absence de valeurs morales, passent de place en place où ils sont employés comme domestiques avec une insouciance et une joie de vivre qui laissent rêveur.
Pour eux, la vie est douce. Pourtant, il n'est pas bien malin et pas toujours fiable, son Totophe. Et lui, faut-il qu'il l'aime sa Chrystèle pour accepter qu'elle le trompe. Oui. Même chez les bêtes de cet acabit, l'amour existe. Et quand l'amour est là, la confiance règne.
Pendant l'Occupation, des cinéastes et des acteurs sont face à un vrai choix. Peut-on accepter de travailler pour la Continentale, une compagnie allemande qui produit des films français depuis 1940? Collaborer, faire comme si de rien était ou bien continuer à lutter? Les destins de deux hommes, confrontés à ce choix, vont se croiser. Ils s'agit de Jean Devaivre, assistant metteur en scène qui entre à la Continental pour cacher ses activités de résistant et de Jean Aurenche, scénariste-poète, qui refuse toutes les propositions de travail venant des Allemands.
Séparé de sa femme et de son fils, Vincent accepte d'accompagner Thelma en Crète et de l'aider à se venger d'un ex-amant. Très attiré par la jeune femme, qui se dérobe constamment, il découvre un soir qu'elle est aussi un homme. Choqué, il la repousse. Mais, apprenant l'''autre'' secret de Thelma, Vincent va la regarder différemment...
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A l'occasion de la tentative de suicide d'un de leurs cousins, la famille Mac Gillis se réunit en province. Tandis que Patrick lutte contre le coma, la famille et les invités s'installent. Les langues se délient, la complicité s'établit, mais la tristesse demeure. L'attente durera trois jours...