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Être inoffensif, altruiste, fiable, vertueux, d'une grande moralité, être, en somme, quelqu'un de bien, à quoi ça sert ? Est-on quelqu'un de bien juste parce qu'on n'a jamais fait de mal à personne ? Et si on se salit les mains au nom de la justice, cela fait-il de nous une mauvaise personne ?
La mort de sa mère ramène Yusuf, un bouquiniste d’Istanbul, dans son village natal.
Dans la maison familiale, l’attend Ayla, une jeune fille qui partageait l’existence de la défunte depuis quelques années et qu’il ne connaît pas.
Comme beaucoup d’autres gens du village, Ayla voue une admiration muette et fascinée à Yusuf, fruit d’un début de notoriété passée du temps où il était poète.
Ayla lui demande d’accomplir le rite sacrificiel que sa mère n’a pas eu le temps de faire avant de mourir. Yusuf finit par accepter,incapable de s’opposer au sentiment étouffant de la culpabilité...
L'homme est fait pour des raisons simples et malheureux pour des raisons encore plus simples tout comme il est né pour de simples raisons et qu'il meurt pour des raisons plus simples encore... Isa et Behar sont des êtres seuls, entrainés par les climats changeants de leur vie intérieure, à la poursuite d'un bonheur ephémère.
Bekir est amoureuse d'Ugur, qui aime Zagor qui aime commettre des crimes...
Zagor sort de prison. Une séries d'incidents se déroulent par une chaude nuit
d'été et Zagor commet un meurtre. Ugur disparaît cette même nuit.