« Avec ses histoires de boîtes de nuit crapuleuses, ses flambeurs flirtant avec le gangstérisme, ses amours passionnelles contrariées par la brutalité du destin, le film de Cupellini passe toujours à un fil de la franche beauferie, qu’il parvient pourtant à éviter grâce à une remarquable alchimie des éléments qui le composent.. »