« Voici une belle oeuvre au noir, fouillant les ressorts du désarroi qui habite le personnage de Duvauchelle, poursuivi par une malédiction qui le dépasse. Finkiel et ses acteurs ? Bande de salauds, quel talent ! »
Eric Libiot
« Nicolas Duvauchelle, excellent comme jamais, mène jusqu'au bout ce mélo social qui ausculte le monde d'aujourd'hui. Pas drôle mais fort. »
Pierre Murat
« Toute la mise en scène d'Emmanuel Finkiel — les plans qui semblent vibrer de nervosité, la bande-son agressive, la musique obsessionnelle — semble refléter le désordre mental d'un homme que sa faiblesse pousse inexorablement à la violence. »
Alain Spira
« Une fois de plus, Duvauchelle (et ses tatouages) est remarquable de justesse dans l'intensité désespérée de son personnage que même la solaire Mélanie Thierry ne parviendra pas à sauver. »
Clément Ghys
« Toute la justesse de "Je ne suis pas un salaud" tient à la description clinique et acide de l’emballement de la machine policière. »
Théo Ribeton
« Agression, faux coupable, remords : un thriller anxieux, habité avec intensité par Nicolas Duvauchelle. »
Jacques Mandelbaum
« Emmanuel Finkiel livre une chronique glaçante du malaise social. »
Pierre Fornerod
« Un polar ambigu avec un très fort Nicolas Duvauchelle. »
Christophe Narbonne
« Cette critique sociale sent le mauvais Boisset à plein nez, avec son anti-héros moralement dégueulasse que Finkiel s’échine à rendre sympathique (obligeant le valeureux Duvauchelle à surjouer la contrition), alors que tout le film le condamne par ailleurs. »