« "Le Faussaire" admet rapidement son incapacité à donner un portrait de l'homme, qui ne se prête, en dépit de son apparente sincérité, qu'à une multitudes d'esquisses. Conscient de cette limite, le film la contourne en adoptant une mise en scène malicieuse, mettant son protagoniste en parallèle avec les héros qui habitent son écran TV(...). »