« L’avis du « Monde » – pourquoi pas : Bobby Fischer (Chicago, 1942 – Reykjavik, 2008) reste l’une des figures les plus étranges du siècle dernier. Au moment où l’établissement du culte de la célébrité aurait pu faire de lui un héros national, son âpreté au gain et son antisémitisme (qui étaient probablement deux des aspects de sa paranoïa – le mot étant ici employé au sens clinique du terme) en firent (...) »