« A l'enchaînement des éléments du scénario, comme un exercice de fatalité, succède l'enchaînement des décors, comme un exercice de diversion : mont-de-piété, église, bordel, trattoria… Vittorio De Sica ne cesse de les travestir : de les enfler lorsqu'ils sont minces, de les dépouiller lorsqu'ils sont imposants. Le Monde, 27 octobre 83 »