« "Victoria", qui fait parfois penser à Noé (la performance hallucinée), à Tykwer (le portrait générationnel) ou à Kounen (les effets de transe), est fascinant quand son dispositif devient film-trip. Quand l'arc narratif de l'héroïne, son trajet symbolique et la compression du temps produisent des effets quasiment hallucinatoires. »