Artavazd Pelechian

La Nature (2022)

Photo dernier film  Artavazd Pelechian
Photo dernier film  Artavazd Pelechian
 Artavazd Pelechian

Filmographie

Score73%
Affiche du film = La Nature

La Nature

2022| 1h02min | Documentaire

De

Sortie le 23 février 2022

Éruptions volcaniques, tremblements de terre et tsunamis constituent la trame visuelle du film et sont mis en regard d’images de paysages naturels grandioses. Véritable élégie visuelle, le film dresse le constat sans appel de la supériorité de la nature, force implacable pouvant surpasser toute ambition humaine. Réalisé à partir d’un montage d’images de catastrophes naturelles, le film marque un retour à l’un des thèmes favoris d’Artavazd Pelechian : le rapport de l’homme à la nature. Le cinéaste semble ainsi nous rappeler que l’espèce humaine ne sortira pas victorieuse du désordre écologique qu’elle a créé.

Notre siecle

2007| 0h50min | Documentaire

De

Sortie le 25 juillet 2007

''Une meditation sur la conquete de l'espace'', les mises a feu qui ne vont nulle part, le reve d'Icare encapsule par les Russes et les Americains.''

Artavazd pelechian, cinéaste et poète du réel

2007| 1h44min | Drame

De

Sortie le 25 juillet 2007

Trois moyens métrages inédits du cinéaste arménien Artavazd Pelechian :
''Nous'' (1969 - 30 min). Un montage alternant images préexistantes et fabriquées, qui composent une lyrique inquiète, où le peuple arménien semble résister à toutes les blessures, à toutes les épreuves dont le quotidien rappelle symboliquement la teneur...
''Les saisons'' (1972 - 30 min). Glissades à flanc de montagne sur des traîneaux de paille, brebis égarées dans un torrent bouillonnant, Pelechian et sa caméra se laissent emporter par une ronde de la vie menée par les bergers arméniens.
''Notre siècle'' (1982 - 50 min). Une méditation sur la conquête de l’espace, les mises à feu qui ne vont nulle part, le rêve d’Icare encapsulé par les Russes et les Américains le visage des cosmonautes déformés par l’accélération...

''Film dedie au 50e anniversaire de la Revolution d'Octobre.''

''Les relations entre l'homme et la nature.''

Un montage alternant images préexistantes et fabriquées, qui composent une lyrique inquiète, d’un humanisme vibrant, où les regards succèdent aux visages, où le peuple arménien semble résister à toutes les blessures, à toutes les épreuves dont le quotidien rappelle symboliquement la teneur : dramatique avec un enterrement, comique et tragique à la fois, lorsque le conducteur d’un triporteur disparaît dans les gaz d’échappement du véhicule qui le précède, bouleversante lors de la séquence des retrouvailles, où hommes et femmes s’embrassent, s’enlacent, jusqu’au vertige. Sous le regard d’un visage d’enfant, visage primitif, visage douloureux dont la répétition souligne une volonté farouche de partage, de reconnaissance, et de paix universelle. « Comment oublier ce peuple arménien en larmes dan s les images d’archives des rapatriements successifs (de 1946 à 1950) : retour au pays, étreintes, retrouvailles, corps déportés par l’émotion et le montage.

Celebration d'une naissance, ce film est une ode au lien ininterrompu et salvateur qui unit les etres : La Nature.