Enquete sur les reactions des parisiens aux evenements, petits et grands, survenus au cours du mois de mai 1962. Ce reportage est compose de deux parties : ''La priere sur la Tour Eiffel'' donne la parole aux gens de tous les jours. ''Le retour de Fantomas'' interviewes d'hommes engages, sur la realite politique et sociale. Texte dit par Yves Montand.
Ce film tente de communiquer, sinon l'experience, au moins le fremissement, le rythme d'une revolution qui sera peut etre tenue un jour pour le ''moment decisif'' de tout un pan de l'histoire contemporaine, au travers de l'ascension de Fidel Castro.
La Sibérie vue par un Occidental non conformiste qui nous écrit et nous raconte de manière subjective, avec un sens aigu de l'insolite et de la poésie, tout ce qu'il découvre au gré de son errance à travers ce pays.
Film en deux parties : ''Les mains fragiles'' et ''Les mains coupées''. Les espoirs et les déceptions suscités par les mouvements révolutionnaires dans le monde entier : Le Viet-nam, Che Guevara Mai 68, Prague, le Chili, le programme commun.
De 1955 a 1965, Chris Marker a visite l'URSS, la Chine, la Coree du Nord, l'Algerie et les bidonvilles de Paris. Il nous montre dans ce reportage les photos qu'il a prises de ses differents voyages.
''Rien n'est plus beau que Paris, sinon le souvenir de Paris. Et rien n'est plus beau que Pekin, sinon le souvenir de Pekin. Et moi, a Paris, je me souviens de Pekin et je compte mes tresors''. Chris Marker.
L'importance de l'art chez le peuple noir, qui est toute sa culture, est ici exprimée en contradiction avec les exigences commerciales qui, quand elles remplacent les exigences religieuses, transforment l'art nègre en artisanat indigène.
Chris Marker construit son film en forme de six lettres adressées à la première personne au cinéaste russe Alexandre Medvekine, né avec le siècle, et qui a vu défiler sous ses yeux ou sa caméra la Révolution d'Octobre, l'extermination des blancs, les procès et les purges, la guerre froide, Tchernobyl et la Perestroïka.
Ce documentaire rend compte de la grève dans l'usine de textile Rhodiaceta à Besançon, pendant laquelle ont été réclamées non seulement une augmentation des salaires, mais pour la 1ère fois, l'amélioration des conditions de travail. Les ouvriers réclament la culture comme le pain et citent Eluard: Pour tous du pain, pour tous des roses.
François Maspéro fait son autoportrait, celui d'un éditeur d'une littérature qui s'oppose aux pouvoirs établis. ''Un éditeur ça se définit par son catalogue''.
Dans l'ambassade anonyme, des réfugiés politiques vivent les heures difficiles qui suivent un coup d'Etat.
En 1984, à l'occasion du 100ème anniversaire de la législation des syndicats, une confédération syndicale la CFDT, s'essaie pendant dix minutes à imaginerl'avenir. Le 29 mars 2084, le robot-présentateur de la télévision intergalactique a été programmé pour célébrer les termes suivants le 2ème centenaire de 1884...
