En 1985, il réalise le "pré-film" du Brasier, un projet qui lui tient à cœur mais extrêmement coûteux, ce n'est que 6 ans plus tard que le films verra réellement le jour.
Contrairement à la plupart des cinéastes français de son âge il fait preuve d'une grande ambition en choisissant de faire pour son premier long-métrage une fresque historique sur l'univers des mineurs dans la France des années 30.
Dans le film Jean-Marc Barr interprète un fils d'immigrés polonais qui tombe sous le charme de Maruschka Detmers. Malgré qu'il est reçu le Prix Jean-Vigo en 1991, le film est un échec commercial total.
Deux ans plus tard il signe le téléfilm Un air de liberté dans le cadre de la collection Les Années lycée d'Arte.
En 1999, il réalise Toreros, son deuxième long métrage, une plongée dans le monde de la corrida avec en toile de fond l'histoire d'un père et d'un fils joués par Olivier Martinez et Claude Brasseur.
Ce n'est que 8 ans plus tard, qu'il revient à la réalisation avec un thriller très sombre : Le Serpent adaptation d'un roman de Ted Lewis, autour d'une terrible machination portée par Clovis Cornillac et Yvan Attal.
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