Francis Fourcou

Laurette 1942, une volontaire au camp du Récébédou (2016)

Photo dernier film Francis Fourcou
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Francis Fourcou

Filmographie

Avec Serge Pey, la poésie est debout, la poésie est le pain des pauvres… Avec lui, la poésie tape du pied et marche… et nous suivons sa marche de la poésie, de Toulouse jusqu’à la tombe du poète Antonio Machado, à Collioure, nous parcourons les chemins de sa mémoire, jusqu’à cette tombe munie d’une boîte aux lettres qui recueille les messages d’espoir, ceux que seuls les poètes peuvent ouvrir, les humanités d'espoir y répondre …

Eté 1942, Laurette Monet, jeune protestante, alors étudiante en théologie en zone Sud qui avec l'innocence et l'énergie de ses 19 ans,découvre en s'engageant dans la Cimade (Comité Inter Mouvenants Auprès des Evacués) le camp d'internement français de Récébédou, au moment des grandes déportations de l'été 1942. Laurette accompagne, protège les populations internées par le gouvernement de Vichy: Juifs allemands, autrichiens, hongrois, antinazis expulsés par Hitler, antifascites, républicains espagnols ou résistants, indésirables à la police du Maréchel. Face à l'horreur de ces antichambres de la solution finale, la conscience de cette protestante humaniste, femme parmi d'autres femmes, bascule dans la résistance.

Une chronique amusée et impertinente qui nous fait partager quelques mois de la vie des salles de cinéma indépendantes art et essai, à la programmation exigeante.

La vallee des montreurs d'ours

1998| 1h37min | Documentaire

De

Sortie le 04 janvier 1998

Les raisons économiques défavorables de la Vallée du Haut Salat contraignirent les paysans à imaginer d'autres moyens de survie que la terre. Ainsi naquit l'industrie des Montreurs d'Ours, qui jusqu'en 1914 favorisa l'exode des valléens vers les Amériques, la France ou l'Angleterre. Filmé pendant vingt ans, le périple des paysans d'un siècle.

Une chronique amusée et impertinente, qui nous fait partager quelques mois de la vie des salles de cinéma indépendante art et essai à la programmation exigeante. Le film parle de liberté, d’indépendance, des alternatives possibles aux multiplexes et à une normalisation programmée, du rôle des spectateurs dans un processus de résistance qui prend de l’ampleur et nous entraîne bien au delà du cinématographe.