En se promenant dans une fête foraine, Charlot se retrouve malgré lui poursuivi par la
police. Il se réfugie dans un cirque en plein spectacle et sabote le numéro du prestidigitateur…
pour la plus grande hilarité des spectateurs. Engagé comme clown, il s’éprend de la jeune et belle écuyère, qui n’est autre que la fille du directeur, martyrisée par son père. Tout va pour le mieux (ou presque), jusqu’à l’apparition d’un rival en la personne du nouveau funambule, le beau Rex. Les tentatives de Charlot pour se mesurer à lui, tant en amour que sur le fil, se concluent par des catastrophes...
Et en dépit du mauvais sort qui s’acharne sur le tournage, Le Cirque est un trésor d’inventivité et de trouvailles burlesques. Charles Chaplin parvient en effet à inventer un film à la structure admirable, plus dramatique que comique : comme dans de nombreux films à venir, il réussit à nous faire rire de tout, même des situations les plus émouvantes.
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