Le réalisateur Elia Suleiman revient en Israël pour faire un film. Etant à la fois dans le film et hors du film, il entreprend d'observer la perte d'identité de la population arabe d'Israël et organise son récit en deux parties non dénuées d'humour : ''Nazareth, Journal intime'' et ''Jérusalem, Journal politique''.