En 73 on la remarque dans "Salut l'artiste" d'Yves Robert, et elle fait une brève apparition l'année suivante dans "Les valseuses" de Bertrand Blier. Suivront deux films avec le même réalisateur : "Calmos" et "Préparez vos mouchoirs". A partir de "Va voir maman, Papa travaille" en 77 (de F. Leterrier), elle va écumer les films, et travailler avec différents réalisateurs.
Les films les plus remarqués seront sans doute "588 rue Paradis" de Henri Verneuil en 91 et "Les misérables" de Claude Lelouch en 95.
Cependant ce sont ses one-woman shows, ses spectacles à elle que l'on remarque le plus. Avec "Pop Destiny" ou "Je suis votre idole", où elle n'a pas hésité à se faire "relooker" par Jean-Paul Gaultier, elle brille sous les sunlight en carrière solo.
Mais ces dernières années, Sylvie Joly est passée "derrière" la scène, en produisant d'autres artistes, dont le talentueux Pierre Palmade.
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