Depuis vingt ans, le mal divise une petite communauté d'Inuits nomades. Deux frères, Arnaqjuaq, l'homme fort et Atanarjuat, l'homme rapide, tentent d'y remédier. Atanarjuat se marie avec la ravissante Atuat. Un de ses prétendants, Oki, le fils vantard du chef du campement, jure de se venger. Oki tend un piège aux deux frères; seul Atanarjuat réussit à s'enfuir. Caméra d'or festival de Cannes 2001.
Dans une communauté d'Inuits, Atanarjuat, l'homme rapide, gagne contre son frère Amaqjuaq la main de la ravissante Atuat. Atanarjuat s'attire ainsi la haine d'Oki, le fils du chef. Ce dernier tend une embuscade aux 2 frères et tue Amaqjuaq, tandis qu'Atanarjuat s'échappe miraculeusement en courant nu sur la banquise...
Iglulik, 1922-23. Des personnages et des faits réels. Le grand shaman, Avva, et sa famille vivent isolés à quelques kilomètres d’Iglulik, sa communauté d’origine qui se convertit depuis peu au christianisme grâce aux enseignements de missionnaires. L’explorateur et aventurier danois Knud Rasmussen leur rend visite, accompagné de ses deux amis : le trappeur Peter Freuchen et l’anthropologue Therkel Mathiassen. Rasmussen écoute et enregistre le quotidien de la vie d’Avva et son épouse, Orulu. Leur fils, Natar, impulsif, accepte de guider Freuchen et Mathiassen au nord d’Iglulik. Après une célébration de départ, Rasmussen part lui aussi en direction de l’ouest alors qu’Avva, confronté à de violentes tempêtes, part à la recherche d’un nouvel emplacement pour sa famille. Sa très jolie fille, Apak, f ait des rêves troublants sur le voyage et la route qu’ils auront à parcourir.
Au retour de la chasse au caribou, Kuanana découvre que sa femme et sa fille ont été enlevées et les autres membres de sa famille massacrés. Il se lance à la poursuite des ravisseurs. Inédit en France, le dernier film du réalisateur primé d’Atanarjuat est inspiré du grand classique hollywoodien La Prisonnière du désert.
