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Esther reçoit anonymement un carnet, écrit 20 ans plus tôt sous forme de journal intime par une jeune fille dont l’histoire fait écho avec la sienne, elle qui est en pleine rupture amoureuse. Poussée par sa meilleure amie, Esther se met en tête de retrouver l’autrice et d’apprendre ce qu’elle est devenue. Son enquête se transforme en un véritable voyage intime au travers duquel Esther se libère, se déploie, se reconstruit.
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Margot, Jérémy, Salomé, César, Sonia. Ils ont entre 18 et 50 ans. Tout les sépare, sauf l’urgence de se reconstruire et de restaurer la relation à l’autre que l’addiction a détruite. Solidaires, ils ont comme seules règles, le partage, l’honnêteté, l’authenticité, la sincérité, l’humanité. Une bande incroyable de vivants qui crie haut et fort qu’on s’en sort mieux à plusieurs que seul...
Antoine, photographe joyeusement désabusé, a pour seul ami Matéo, le jeune fils
de sa voisine souvent absente, auquel il donne une éducation fantaisiste.
Un matin, des notes de piano venues de l'immeuble d'en face captent son attention.
Antoine ne sait pas encore que celle qui les joue, Elena, étudiante idéaliste et sans concession, va bouleverser sa vie et lui permettre enfin de trouver une place sur la Terre...
Ancien braqueur fiché au grand banditisme, Michel Vaujour a toujours préféré la fuite à la prison, l’aventure à la soumission, la liberté à la loi. En l’espace de 30 ans, il aura passé 27 ans en prison –dont 17 en cellule d’isolement– et sera parvenu à s’en échapper à cinq reprises avant d’obtenir une libération conditionnelle en 2003. Si cette vie trépidante l’a souvent exposé au pire, elle l’a aussi confronté à un incroyable face-à-face avec lui-même. Avec le temps, cette fuite en avant est devenue une ascension intérieure, une esquisse de philosophie où il lui a fallu vaincre une certaine idée de soi, de la vie et des autres. C’est à ce voyage initiatique que nous convie ce film.
Un travail confortable, une famille unie, François Durrieux a tout pour être heureux. Mais un tragique événement au sein de son entreprise vient remettre en cause l'équilibre fragile de cette vie banale et heureuse.
Raphaële, un femme ordinaire, a choisi d'assumer sa part d'ombre et de ne plus commettre avec indifférence les erreurs et autres tromperies qui forment avec lacheté le quotidien de chacun, et dont on s'arrange si facilement. Projeté avec ''Un certain goût d'herbe fraîche'', de la même réalisatrice, où le regard détaché d'un taulard sur la liberté.
Abel est en prison, mais il se dégage de lui un étrange sentiment de désespoir tranquille. Avec un regard détaché, il compare le bonheur qu'éprouvera un co-détenu remis en liberté avec le sien. Pour lui, mis à part son environement direct, n'importe quel rêve apporte la même part de satisfaction, dedans ou dehors.