Près de 40 ans après la guerre d'Algérie, dans un jardin ouvrier, quartier du pont rompu à Tourcoing, français et algériens cultivent leur bout de terre. Ces hommes ont été les appelés, les militans du F.L.N. ou les ''harkis'' d'une guerre coloniale menée par la République Française. Ce jardin est donc le lieu d'une mémoire multiple.
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