« Entre le rituel morbide de cet enfant de fiction qui continue à adresser des lettres à ses parents pour les mettre en scène dans la vallée de la Mort, et le désir du cinéphile de prolonger à jamais les mythes de son enfance, une même pulsion démiurgique et mortifère est à l’œuvre. La force de "Valley of Love" est de ne pas chercher à raconter plus que ça. »