« Forte de son dualisme, la mise en scène de Pete Docter entremêle avec souplesse les temporalités et les points de vue, démultiplie les perceptions, pénètre les plis du temps et les courts-circuits de la pensée, dans une grande articulation des images-souvenirs qui n'a rien à envier au "Marienbad" d'Alain Resnais. »