Amos Gitaï

Laila in Haifa (2021)

Photo dernier film Amos Gitaï
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Amos Gitaï

Filmographie

Journal de campagne

1983| 1h23min | Documentaire

De

Sortie le 05 janvier 1983

Ciné-journal tourné dans les territoires occupés au moment de l'invasion du Liban. Amos Gitaï est témoin d'une altercation avec l'armée israélienne qui veut l'empêcher de filmer au domicile de Bassam Chakaa, maire palestinien de Naplouse, assigné à résidence. Gestes, menaces, intimidations : le moteur de la caméra n'est pas coupé.

Au sortir de la guerre, Marjoline, une belle adolescente, arrive à Paris. Elle devient manucure dans un luxueux salon de beauté et épouse Daniel, jeune chercheur en horticulture. Elle est au comble du bonheur lorsqu’ils reçoivent en cadeau un appartement au confort moderne. Pour le meubler, elle se couvre progressivement de dettes, malgré l’opposition de Daniel. Son désir obsessionnel de consommer va mettre leur nouveau bonheur en péril.

A Suse, en Orient, Esther, jeune femme juive, empêche le Roi Assuerus de massacrer les juifs de son royaume.Ceux-ci emmenés par l'oncle d'Esther, finissent par tuer leurs ennemis, qui les avaient épargnés.

Wadi est une vallée située à l'est de Haïfa, en Israël. En 1980, Amos Gitaï y avait filmé la vie de trois familles immigrantes, et revint faire le point dix ans plus tard.

1986. Voyage du groupe Eurythmics au Japon. C'est la fin du tour du monde de Dave Stewart et d'Annie Lennox pour la promotion de leur album ''Revenge''. C'est aussi entre deux concerts le choc d'une découverte : celui du monde des sons tel que le Japon le cultive, à la fois brutalement technologique et hautement raffiné dans ses expressions.

A Wupperthal, dans un bar d'extrême droite, un représentant de commerce interpelle deux skinheads. Le ton monte l'homme prétend être ''demi-juif'', il est alors battu à mort et immolé par les deux skinheads, puis abandonné dans les bois avec l'aide du patron du bar.

Vingt ans après avoir tourné sur le chantier d'une villa israélienne bâtie sur les fondations d'une maison arabe, Amos Gitaï revient sur les lieux et évoque à nouveau la situation d'Israël avec ses propriétaires passés et présents.

''House'' retrace les changements d'occupants d'une maison de Jerusalem Ouest. Réquisitionnée par le gouvernement en vertu d'une loi sur les ''absents'', elle a été louée à un couple de Juifs algériens, puis rachetée par un professeur d'université israélien qui entreprend de la transformer.

Dix-huit après "House", Amos Gitaï retourne sur les lieux de son premier film pour y observer les changements chez les nouveaux habitants comme dans le voisinage. tel un archéologue, le réalisateur dévoile, strate après strate, un labyrinthe complexe de destins.